[ manga ] « Une sacrée mamie » de Saburô Ishikawa et Yōshichi Shimada

 

 

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En résumé :

 

 

Une sacrée mamie est un seinen manga scénarisé par Yoshichi Shimada et dessiné par Saburō Ishikawa, prépublié dans le magazine Business Jump de l'éditeur Shūeisha entre et janvier 2010 puis publié en onze volumes reliés entre avril 2006 et mars 2010.

Auteurs : Saburô Ishikawa, Yōshichi Shimada

 

Date du copyright : 2009

 

Volumes : 11

 

Illustrateur : Saburô Ishikawa

 

 

1958, Hiroshima. À cette époque au Japon, il est difficile pour une jeune femme d'élever seule ses deux fils. Acculée, Hikedo décide un jour de confier son plus jeune garçon, Akihiro, à sa mère qui vit à la campagne. Arrivé chez sa grand-mère, une vie complètement nouvelle va commencer pour Akihiro. Pas facile de quitter la ville pour la campagne quand on n'y est pas préparé ! Mais le petit garçon va vite s'habituer à sa nouvelle vie au grand air. Suivant l'exemple de sa super mamie débrouillarde, il apprend à s'adapter à toutes les situations...

 

Avec cette adaptation en manga d'un roman autobiographique qui a réveillé dans le coeur des Japonais les souvenirs d'un passé où les relations étaient plus humaines, Saburo Ishikawa réussit à nous décrire un monde rural à la fois rude et solidaire, mais aussi plein d'affection.

 

 

Auteurs :

 

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Saburô Ishikawa

 

Originaire de Hokkaidô, Saburô Ishikawa est né le 18 janvier 1953. Il développe sa passion pour le manga en lisant des auteurs comme Tetsuya ou Akio Chiba et apprend les rudiments du dessin grâce à la revue COM, fondée par Osamu Tezuka. Il fait ses débuts à 19 ans, en 1978, dans le magazine Shônen Jump, puis s’oriente vers des titres seinen, s’attachant particulièrement à des récits humain. Il est récompensé au Prix Tezuka en 1974 pour son récit {Tachiyomi genkin} (Interdiction de feuilleter les ouvrages). La même année sont également récompensés Daijirô Mrohoshi et Mio Murao. Il a jusqu’à présent publié près d'une centaine de volumes chez divers éditeurs, tels que Shûeisha, Shogakukan ou Hôbunsha.

 

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Yôshichi Shimada

 

Né le 2 octobre 1950, à Hiroshima. Alors que Yoshichi Shimada venait à peine de naître, son père meurt des conséquences de la bombe atomique. Dans sa petite enfance, Yoshichi Shimada a donc vécu avec sa mère et son grand frère. C’est finalement à l’âge de 7 ans, alors qu’il n’’est qu’en seconde année à l’école primaire, qu’il va déménager chez sa grand-mère. Il vivra avec elle pendant huit ans, jusqu’à ce qu’il sorte du collège. De ces huit années de vie à la campagne, il s’inspirera pour écrire le roman Une enfance à la campagne. Finalement, c’est dans les années 80 que Yoshichi Shimada va commencer à se faire connaître : avec son duo de comiques, intitulé B&B, il devient un des pionniers des comédiens comiques japonais. Pendant de longues années, il exercera ce métier, accaparant l’attention des médias et des spectateurs. En 1993, sous les conseils de Takeshi Kitano, Yoshichi Shimada finira par écrire le roman Une enfance à la campagne. Quelques années après la première publication, le succès de son titre est fulgurant. Aujourd’hui, Yoshichi Shimada est un artiste heureux et accompli, qui mène de front son travail de comédien-comique, romancier, et bientôt de réalisateur.

 

 

Avis :

 

Un sacré manga!

 

Dans le Japon rural post Seconde Guerre Mondiale, le jeune Akihiro fait l'apprentissage de la vie aux côtés de sa grand mère qui lui transmet son étonnante philosophie. C'est drôle, c'est émouvant, c'est tendre... Une fois que vous aurez fait connaissance avec elle, vous ne la lâcherez plus cette sacrée mamie.

 

 

Quelle sacrée mamie !

 

Hiroshima, les années 50; le jeune Akihito est confié à sa grand-mère qu'il ne connait pas et surtout qui vit à la campagne. Cette dernière lui apprendra à apprécier les petits bonheurs simples de la vie. Retrouvez dans cette série toute la douceur, la simplicité et l'humour de cette super mamie. Prix « Tam Tam » 2011

 

 

La mamie d'Ahikiro est trop forte! Dans le Japon d'après guerre, elle va lui montrer qu'être pauvre c'est parfois vraiment drôle.

 

 

Mon avis :

 

Tout en poésie !